Le coin photovoltaïque du forum

L'action du vent sur les batiments, façade et toiture , peut étre considérable et bien au-delà de ce que nous pourrions bien penser.
Exemple , en zone de rive , sur un bâtiment à toiture plate , par un vent de 120 kms heure , au " décrochage " de la rive , cette vitesse de vent peut atteindre plus de 200 kms heure. Pour diminuer au centre de la toiture.

Sur des tuiles , le vent va se " casser, fragmenter " , effectivement , dans les "bords de tuiles" et en règle générale dans une couverture en " petits éléments ".

Enfin bref , c'est compliqué quand même et je pense qu'il ne faut pas prendre le problème à la légère. C'est une donnée qu'il faut prendre en compte quand à la fatigue des matériaux et plus encore quand la charpente n'a pas été calculée pour........à l'époque.

C'est pareil pour les gens qui aménagent les combles sous toiture et vieille charpente . Par le dessous , on va y ajouter de l'isolation , une structure portante et une bonne plaque de plâtre , bien lourde. Ça , c'est le top du top.
Avec souvent la situation aggravante que , on va enlever par exemple des ardoises pour 22 kilos au M2 pour les remplacer par des tuiles 45 kilos M2 sur lesquelles ont va venir ajouter des PV .
La , c'est clair , c'est le jackpot assuré. 👌👍
 
Voici juste " un petit" aperçu. Malheureusement , cet article ne parle pas de tout.

 
Bon, on a signé un devis pour une installation photovoltaïques.

Cette première phase concerne une solution pour l'autoconsommation avec vente de surplus sans stockage. Le stockage, c'est pour la suite.

C'est en gros ce que j'ai déjà présenté :
- 15 panneaux DMEGC de 500Wc pour 7,5kWc
- Fixations K2 Systems
- Solution Huawei avec un onduleur central SUN2000, les optimiseurs, le capteur de conso, la backupbox

On attend l'accord de la Mairie...
 
Je dispose d'un garage/abri de jardin/atelier avec une toiture orienté vers le sud-sud-est et une inclinaison d'environ 40° qui a une surface d'environ 42m².
Ce bâtiment est électrifié, mais éloigné d'environ 30 mètres de la maison principale.
Même si les conditions ne sont pas idéales (Normandie, une vallée, des arbres autour), j'envisage de mettre des panneaux photovoltaïques sur ce toit pour tirer le moins possible sur le réseau électrique Enedis.
Sans parler d'autonomie, je souhaite rester connecté au réseau public, l'idée est de dépendre le moins possible du réseau.
Je m'oriente donc vers une installation permettant l'autoconsommation avec une revente de surplus.
L'ajout de batteries permettrait de stocker l'énergie produite et non consommée en local et de lisser son usage sur 24 heures, dans la mesure du possible.
L'aspect économique et donc la rentabilité (la plus rapide possible) n'est pas le critère le plus important dans ce projet. Il s'agit de mon point de vue d'un investissement à long terme et quelque part d'une démarche écologique. Mais je ne vais probablement pas passer mon temps à calculer l'impact environnemental de cette installation et son amortissement en bilan carbone.
N'ayant pas d'autres endroits pour installer des panneaux, je pense en mettre un maximum sur ce toit dès maintenant pour ne plus avoir à revenir sur cette installation par la suite.
J'ai démarché quelques entreprises plus ou moins locales (une au moins a une envergure nationale) pour voir ce que l'on me propose.
Je me suis rendu compte sans pour autant avoir un recul important sur les installations PV qu'on me racontait parfois des bêtises sur certains points. Et qu'on proposait des solutions "toutes faites" pas forcément en adéquation avec le besoin exprimé.
Cela m'a obligé d'investir du temps pour approfondir mes connaissances et mes craintes sur ces propositions se sont confirmées.
Du coup, je me suis imaginé une installation PV "de mes rêves" en prenant en compte ma pauvre vieille installation existante et éclatée (géographiquement) et les limites législatifs et réglementaires pour avoir quelque chose de simple à gérer, intégrée et durable.

Je vous décris comment j'ai avancé dans mon projet dans les messages suivants...
Bonjour artur,

Un test pour voir le sérieux et la compétence des installateurs: une étude de masques intégrés à l'étude? Le photovoltaïque est un métier à part entière, et cela ne se résume pas à savoir poser les modules en toiture en évitant les problèmes d'étanchéité. Ce qui est le minimum.

Si vous ne recherchez pas la rentabilisation à tout prix, essayez de voir si on vous propose une installation en sur imposition: c'est la disposition la plus intelligente car il faut éviter que les modules PV ne surchauffent en été. La décision française de subventionner fortement les installations intégrées en 2006 relèvent probablement du lobbying de fabricant de tuiles se lançant dans le photovoltaïque car du point de vue technique, ça relève de l'amateurisme (méconnaissance profonde du principe de fonctionnement d'un module PV).
 
Ça sera une installation en surimposition.
La couverture actuelle en ardoise est propre et en bon état. Elle a une dizaine d'années.
 
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